Des collines aux pierres rougeâtres, une luminosité nouvelle, cette impression de désert, indiquent sans erreur possible que nous sommes à proximité du Tibet. C'est ainsi que Maurice Herzog décrira l'approche du toit du monde dans son grand classique...
Lire la suiteFinalement, c'était Cretinho ?
Durant toute la présidence Trump, nos Chroniques se sont posé la question : les déraillements de sa politique étrangère, pavée de bonnes intentions, sont-ils des gages donnés à l’État profond, ou l'occupant de la Maison Blanche a-t-il été récupéré corps...
Lire la suiteOù l'on reparle de la géopolitique covidienne
Dès le mois de mars, votre serviteur et d'autres annonçaient les profonds changements qui allaient émerger sur l'échiquier mondial post-Covid. Si l'accalmie pandémique estivale, la féroce propagande médiatique occidentale pour tenter de cacher le désastre...
Lire la suiteLe sultan aurait dû lire nos Chroniques...
Errare sultanum est. Début décembre, nous écrivions ceci : Ses succès réels ou partiels sont magnifiés, exagérés (et colportés par une kyrielle d'idiots utiles en Occident) ; ses revers sont tout simplement passés sous silence et vite remplacés par une...
Lire la suiteVote et contre-vote
Le mois de décembre est souvent intéressant à l'ONU. Et si les votes de l'Assemblée générale, organe principalement consultatif, sont avant tout symboliques, ils n'en restent pas moins utiles pour indiquer dans quel sens bat le pouls de la planète géopolitique....
Lire la suiteTsss tsss, et le Nord Stream ?
Pendant ce temps, la saga baltique continue... Nous ne reviendrons pas sur les innombrables rebondissements de ce feuilleton à suspense, et dont la mascarade Navalny n'a été que l'ultime péripétie ; nos Chroniques les ont décrits en long, en large et...
Lire la suiteMaia l'abeille et la révolution de couleur au carré
Ô l'ironie... Fin octobre, nous avertissions de possibles provocations impériales en Moldavie si la candidate de la banque mondiale Maia Sandu venait à perdre. Finalement, la belle l'a emporté quelques semaines plus tard de manière relativement aisée,...
Lire la suiteQuelques petits problèmes pour le sultan
Il faut reconnaître à Erdogan une chose : sa capacité soft powerienne à créer une aura autour de son pays, mélange de gloriole triomphale et de posture menaçante. Ses succès réels ou partiels sont magnifiés, exagérés (et colportés par une kyrielle d'idiots...
Lire la suiteL'ours pose sa patte
Non, chers lecteurs, nous n'allons pas parler d'amours contre-nature mais de la Biélorussie, où le Kremlin, ayant lentement et sûrement avancé ses pièces, commence à voir la situation se présenter sous un aspect avantageux. C'était prévu : La modestie...
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