Chaque fois, l'on se dit que l'inepte propagande de la presstituée impériale américaine a atteint le fond du ridicule et chaque fois l'on est surpris par son regain d'énergie pour tomber toujours plus bas.
On se rappelle que l'abominable Poutine des neiges avait déjà été accusé, entre autres choses, de militariser des pieuvres géantes, d'attaquer la démocratie américaine à coups de Pokémon (CNN !) et de manipuler les campagnes de vaccination. Sans compter, ne riez pas, la subversion de nos enfants par les dessins animés, l'instrumentalisation de la persuasion Jedi ou encore l'empoisonnement d'Hillary Clinton herself. Chers amis, l'ogre a passé un cap supérieur et va, tenez-vous bien, désormais utiliser... le coronavirus pour semer la discorde parmi les Américains !
Eh oui, c'est l'héroïque New York Times qui nous l'apprend. Les "arguments" sont certes quelque peu poussifs (et jetés en toute fin d'article) : l'épidémie coïncide avec la campagne électorale, elle est déjà l'objet de théories du complot et Trump l'a mal gérée. On ne voit pas trop le rapport avec Moscou mais notre bonne presse libre et démocratique ne s'arrête pas à ces futiles détails. Tremble, bon peuple américain, l'ours est là qui rôde, s'apprêtant à s'engouffrer dans la brèche virale. Heureusement, nos glorieux journalistes veillent...